A
l'occasion de l’audition de la présidente de la commission de l’emploi et des
affaires sociales du Parlement Européen par la commission des affaires sociales
de l’Assemblée nationale, Yannick FAVENNEC s’est inquiété de la mise en œuvre de la directive européenne
sur le temps de travail et de ses conséquences
sur l’organisation de la sécurité civile dans notre Pays.
"
En
effet, si l’activité de sapeur-pompier volontaire était assimilée à une
activité professionnelle comme le prévoyait ce texte " explique le
député mayennais, " cela aurait impliqué qu’un sapeur-pompier
volontaire qui travaille devrait s’arrêter pendant 11 heures avant de regagner
son centre de secours et, dès lors, attendre 11 heures aussi avant de reprendre
son activité professionnelle".
Madame
Pervenche PERES a indiqué à la représentation nationale que « cette
directive était enterrée car les partenaires sociaux n’ont pas souhaité rouvrir
les négociations sur ce sujet ».
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