
En effet, la présence de personnes désignées par les organisateurs (dont la formation devra être assurée par un cabinet agréé) ou d’un ou plusieurs SSIAP (service de sécurité incendie et d’assistance à personnes) sera désormais exigée.
C’est pourquoi, en raison du coût important que représentera ce dispositif, Yannick Favennec s’inquiète des conséquences "sur la pérennité et le développement de la vie associative en milieu rural".Aussi, le député mayennais a demandé au ministre "des assouplissements afin de ne pas, à nouveau, décourager les bénévoles par des normes trop contraignantes et inadaptées au niveau local".