
"Cela pose d'importantes difficultés de gestion aux établissements privés qui, par exemple, entre 2008 et 2010, ont rendu 4 600 postes alors que ses effectifs ont augmenté de 10 000 élèves et que, chaque année, 30 000 demandes d'inscription ne peuvent être satisfaites", explique Yannick Favennec.
C'est pourquoi, le député mayennais souhaite que le ministre prenne en compte, dans le calcul relatif aux suppressions de postes dans le privé, la demande grandissante de scolarisation des élèves dans l'enseignement privé.