
Les
prix à la pompe baisseront probablement de 6 centimes, une baisse qui pourrait
être balayée en deux semaines si les prix du pétrole continuent à augmenter.
De
plus, cette mesure étant très coûteuse pour l’Etat, dont le manque à gagner est
de 300 millions d’euros, on peut craindre que cette baisse pour le
consommateur, soit compensée par une hausse pour le contribuable, indique
le député mayennais. »
C’est pourquoi, Yannick
Favennec vient de demander au gouvernement « de
mener rapidement une réflexion sur la fiscalité des carburants, les besoins de
transports des régions et la nécessaire transition énergétique ».