
Pour le député
mayennais, « cette acceptation
résignée de la dégradation sur le front de l’emploi dans notre pays, ce
renoncement et cet attentisme, sont une aberration.
Au rythme de 40 000
demandeurs d’emploi supplémentaires par mois, cela signifie que la France
connaîtra 500 000 chômeurs de plus, d’ici fin 2013.
Cette situation
nécessite des réformes structurelles majeures et urgentes pour une véritable
politique de l’emploi, qui ne peut attendre
une mise en œuvre le 1er janvier 2014, comme le prévoit le
gouvernement. »