
«Les professionnels
de santé doivent affronter deux difficultés majeures en raison de la diversité
et de l’intensité variable des symptômes causés par la maladie : le dépistage
qui manque de fiabilité et la prise en charge du traitement qui fait
cruellement défaut. Par conséquent, les patients se sentent démunis et ils ont
le sentiment d’être oubliés des pouvoirs publics ».
C’est pourquoi,
Yannick Favennec vient notamment de demander à la ministre de la Santé de «mettre
en place une campagne de sensibilisation à la maladie, d’établir un plan de
lutte contre la maladie de Lyme à la hauteur de la gravité de ce phénomène et
de reconnaître, enfin, le caractère chronique de cette affection».