
Pour Yannick Favennec, conseiller régional UPL, "dans le contexte actuel, la première mesure induira une baisse du pouvoir d’achat des apprentis et de leurs familles. Quant à la deuxième, avec son application, c’est tout le système de valorisation du geste artisanal qui est remis en cause".
Il s’inquiète en particulier pour des filières comme l’hôtellerie-restauration, la boulangerie-pâtisserie ou encore le bâtiment, qui recrutent massivement en formation de CAP.