
Avec sa collègue, Jacqueline IRLES, il souhaite que la carte vitale soit le support d’un « testament de vie » adapté au don d’organes pour, ainsi, simplifier l’accès au prélèvement chez les patients en état de mort encéphalique.
"Aujourd’hui, une personne décédée qui ne s’est pas inscrite sur le registre national du refus, est considérée comme consentante au don. Cependant le médecin a l’obligation de s’enquérir auprès de la famille, ou des proches, de la volonté du défunt. Cela aboutit souvent au refus du prélèvement, si ce sujet n’a jamais été abordé auparavant", explique Yannick FAVENNEC.
C’est pourquoi, pour le député mayennais, il est important d’inciter chaque Français a faire part de sa position au travers d’un « testament de vie » accessible par le biais de la carte vitale.