
Pour le député mayennais, "les produits des amendes routières ne doivent pas financer une autre politique que celle qui vise à lutter contre l’insécurité routière".
Bien qu’en désaccord avec le Gouvernement sur les mesures précipitées qui ont été annoncées le 11 mai dernier, Yannick Favennec souligne qu’il ne peut y avoir "aucune contestation possible sur la volonté du gouvernement et de sa majorité de faire baisser les chiffres alarmants de la sécurité routière". Et d’ajouter, "pour cela, il faut cesser de faire preuve d’autoritarisme et d’arrogance dans ce domaine, et se concentrer sur les vraies causes de la recrudescence des accidents de la route".