
Pour Yannick Favennec, "l’intervention de l’Etat dans ce domaine est légitime et bénéfique. La finance doit contribuer au progrès social et non à l’enrichissement démesuré de milliers de traders quand plusieurs milliers de personnes perdent ou sont menacés de perdre leur emploi en partie par leur faute.
Nous devons remettre de l’ordre, corriger les excès notamment pour revenir à une attitude positive et éthique des banques à l’égard des emprunteurs, entreprises ou ménages, sans lesquels il n’y a ni investissement productif, ni croissance durable."