Suite aux résultats de la "votation", organisée par les partis de gauche, sur le projet de loi relatif à La Poste, Yannick Favennec, souligne "la contradiction du parti socialiste qui réclame un référendum d'initiative populaire, inscrit dans la révision constitutionnelle de juillet 2008, alors qu’il n’a pas voté le texte concernant cette modification de la Constitution".
De plus, pour le député du Nord-Mayenne, "ce résultat n’a pas de sens, ni de valeur juridique, puisque le projet de loi ne prévoit pas une "privatisation" mais une transformation en société anonyme à capitaux 100% publics".