Pendant deux heures, ils ont pu s’entretenir avec deux conseillers techniques du Premier ministre, en charge des Affaires scolaires.
Au cours de cet entretien, les conseillers de François Fillon ont reconnu qu’il y avait eu "un problème de méthodologie", soulignant "le manque de concertation en amont des décisions ".
"Désormais on pourrait s’orienter vers deux réunions annuelles d’information et de concertation entre les cadres de l’Education nationale et les élus, afin de faire le point sur les éventuels projets de fermeture de classes", explique Yannick Favennec.
Par ailleurs, les collaborateurs du Premier ministre ont confirmé à la délégation qu’aucune décision définitive, sur les fermetures ou ouvertures de classes en maternelle et primaire, ne serait prise avant la rentrée du mois de septembre prochain. C’est le nombre d’inscriptions qui déterminera, au final, les choix de l’Inspection d’académie.