Le projet de loi constitutionnelle réformant les institutions est actuellement soumis au Parlement qui se réunira en congrès à Versailles, le 21 juillet, pour adopter ce texte.Le député du Nord-Mayenne votera ce texte important car « il permettra à nos institutions de mieux fonctionner ».
Pour Yannick Favennec, « la lenteur et la complexité du travail législatif sont la cause d'une partie du mal français qui alourdit les politiques de réformes, nuit à leur visibilité et à leur efficacité. Il est indispensable, insiste le député mayennais, de simplifier nos mécanismes de décision, de rendre notre système plus efficace et de faire en sorte que le pouvoir législatif soit associé plus étroitement à la politique du gouvernement (la réussite de notre pays passe par un Parlement puissant et un exécutif fort)...».
Alors que la gauche a fait savoir qu'elle ne voterait pas ce texte, en l'état, Yannick Favennec considère qu'il « serait dommage de manquer ce grand rendez-vous en raison d'un vieux réflexe qui paralyse depuis toujours notre pays, celui de la "politique politicienne ! »
Pour Yannick Favennec, « la lenteur et la complexité du travail législatif sont la cause d'une partie du mal français qui alourdit les politiques de réformes, nuit à leur visibilité et à leur efficacité. Il est indispensable, insiste le député mayennais, de simplifier nos mécanismes de décision, de rendre notre système plus efficace et de faire en sorte que le pouvoir législatif soit associé plus étroitement à la politique du gouvernement (la réussite de notre pays passe par un Parlement puissant et un exécutif fort)...».
Alors que la gauche a fait savoir qu'elle ne voterait pas ce texte, en l'état, Yannick Favennec considère qu'il « serait dommage de manquer ce grand rendez-vous en raison d'un vieux réflexe qui paralyse depuis toujours notre pays, celui de la "politique politicienne ! »