
"La prise de vue de photographies d’identité en mairie a eu pour effet de créer des conditions d’une concurrence déloyale, explique Yannick Favennec. De plus, les usagers ont parfois subi directement ou indirectement la difficulté de certaines mairies à gérer l’afflux de demandes.
D’ailleurs, sur les 2000 communes équipées de stations biométriques, 1000 maires ont d’ores et déjà renoncé au recueil de l’image en mairie, souligne le député mayennais pour qui la photographie ne peut être considérée comme une activité régalienne".