En effet, les dotations européennes accordées à la France représentent une part importante des ressources des Restos du cœur (20 %), de la Croix-Rouge (60 %), du Secours populaire français (50 %) et de la Banque alimentaire (60 %).
Or, "la réforme de la Pac, qui vise à réduire les surplus agricoles, pourrait conduire à une diminution importante des fonds du Programme européen d’aide aux plus démunis, ou à leur suppression. L’existence même de ces associations serait en péril quand les demandes d’assistance alimentaire sont de plus en plus nombreuses", a expliqué Yannick Favennec au ministre.