"Les bénévoles ont l’impression qu’on se fout d’eux. Ils me disent : On fait un boulot de titan pour animer nos territoires. Et derrière, la Sacem nous demande des droits exorbitants, sans facture détaillée. On nous pique de l’argent pour payer le train de vie royal des dirigeants", a notamment confié Yannick Favennec à la journaliste.