lundi 9 novembre 2009

Convention régionale de l'UMP : Yannick Favennec vous propose un florilège de citations


Verbatim :

Yannick Favennec : "Je viens de casser un verre, c'est du verre blanc ! Cela va nous porter bonheur ! C'est un bon signe alors que nous lançons notre campagne des élections régionales."

Christophe Béchu : "Nicolas Sarkozy et François Fillon m'ont demandé d'être tête de liste. (...) J'accepte d'être candidat, mais je ne le suis pas à contre-coeur, pas pour occuper l'espace, pas pour faire de la figuration, mais pour vous conduire à la victoire."

Roselyne Bachelot : "Ma mission requiert une implication pleine et entière. C'est pourquoi, à la demande de François Fillon et Nicolas Sarkozy, j'ai accepté de renoncer à conduire la liste. C'est pour moi un sacrifice, mais je l'accepte."

François Fillon : "Christophe Béchu est le candidat dont nous avons besoin. Il incarne une nouvelle génération, il est expérimenté, il a déjà remporté de nombreux succès, ses valeurs sont celles de notre région et son projet est le seul qui pourra permettre à notre région de rester en tête."

Yannick Favennec : "J'ai vu les effets désastreux de la politique du président socialiste du conseil régional et de sa majorité de gauche. Les Mayennais n'en peuvent plus de supporter dans leur quotidien le mépris de ces élus de gauche qui prétendaient les défendre, qui prétendaient les protéger."

Christophe Béchu : "Je m'engage à prendre en compte les préoccupations et les attentes des Ligériens. Ils méritent mieux qu'une région qui est dans le Faire-savoir plutôt que dans l'action, une région qui fait exploser la fiscalité avec 350 millions d'impôts cumulés supplémentaires qui sont ponctionnés dans les poches des ménages Ligériens."

Roselyne Bachelot : "Je me réjouis que ce soit Christophe Béchu qui incarne le projet ambitieux que nous avons pour les Pays-de-la-Loire. Il est jeune, mais il a de l'expérience depuis 16 ans qu'il est entré en politique et qu'il gravit les échelons pas à pas."

François Fillon : "Les Pays-de-la-Loire ne sont pas condamnés à rester dans le giron de la gauche. (...). Pour gagner, nous devons nous serrer les coudes, conduire ensemble la bataille, dès le premier tour et mettre de côté les intérêts personnels et les ambitions partisanes. Les électeurs sont lucides et les rabibochages de second tour ne leurrent personne."